Myriam de Lafforest
Myriam grandit au sein d’une famille d’artistes (peintres et photographes) et très tôt elle
comprend l’importance de l’art dans sa vie.
Elle découvrira la sculpture à travers des oeuvres de grands maîtres, Rodin et Camille
Claudel…”Du haut de mes 10 ans, je contemplais “L’Age mûr” de Camille, et compris alors que la sculpture était une forme pleine… pleine du secret d’une femme”.
Après sa thèse en psychologie, elle arrive en Espagne où sa vie la conduira de nouveau vers l ‘art à travers la rencontre de Salvador Mañosa, sculpteur catalan. Depuis, la sculpture s’impose à elle.
Myriam travaille le plus souvent sans idées préconçues, ni modèles vivants, elle laisse la terre lui parler de ce qu’elle ne sait pas encore. Au commencement, surgit une forme que ses mains suivent, lui influant l’énergie de son mouvement. Ce toucher, comme une dance créative, continue et s’arrêtera lorsque l’expression du visage fera Sens. Le mouvement et l’émotion révélée sont désormais unis, le titre est suggéré.
Aujourd’hui, parallèlement à son travail d’artiste et ses expositions dans de nombreux pays, Myriam marie la psychologie par un engagement en tant qu’art thérapeute. Elle vit et a installé son atelier au cœur de la campagne catalane espagnole.
“Dans l’art thérapie, l’art est abordé comme une création qui conduit à soi-même, qui réconcilie avec la vie… l’art est un pont magnifique entre le vécu et l’Etre, il est important d’y circuler”